Kalash Criminel et sa sauvagerie envahissent le Yard Winter Club

Rougemont. Il est presque 14h lorsque nous débarquons au Bureau de l’artiste cagoulé le plus connu de France et de Navarre. En face de nous, une agitation anormale se produit dans un hall d’immeuble plus qu’étroit et s’échappent de ce lieu à un rythme régulier, les cris d’une jeunesse, témoin d’un spectacle semble t-il très plaisant. Quelques minutes plus tard, le rappeur Ixzo s’extirpe de cette masse bruyante et vient nous serrer la main. Nous sommes bien loin des clichés dont se délectent Bernard de la Vilardière et cie. Nous sommes le Vendredi 10 mars et Kalash Criminel vient tout juste de sortir « Euphorie », dernière sauvagerie en date. Tout au long de la journée, des bribes de la musique ne cesseront de nous parvenir, encore et encore. La sauvagerie, un état d’esprit.

 

 

Le 10, le 12 et le 14. Le bureau comme ils aiment à l’appeler.
Antre de Kalash Criminel et de ses sauvages. Lieu où tout a commencé…
De Sevran à Paris, pour la dernière de la saison, l’artiste apportera au Yard Winter Club, sa puissance brute et sans concessions. La sauvagerie.

 

 

 

 

Production – Miles

Chef Opérateur – César Decharme
Images additionnelles – Nicolas Bamdad
Son – Thomas Becka
Montage – Samir Le Babtou
Etalonnage – Eriola Yanhoui

 

 

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