Kelow

Après trois ans de silence radio, la rappeuse Kelow est de retour avec son mélange de son hip hop et Go Go, concentré dans l’EP « Amethyst Stoner ». Fière représentante de DMV dans le Maryland, elle met un point d’honneur à faire de son art, qu’il soit graphique ou musical, un étendard pour les talents de sa région. Découvrez-la en quelques questions.

 

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AMETHYST STONER

 

Est-ce que tu peux te présenter ?

Kelow #yahearme

 

Comment as-tu découvert la musique ?

Depuis que je suis bébé je pense quand j’entendais les vibrations. J’ai toujours aimé la musique et le son.

 

Qu’est-ce qui t’a décidé à prendre ton art au sérieux ?

Musicalement, c’est simplement encré en moi. Je me souviens m’être enregistré, et avoir gravé mes propres CDs à 12 ans. J’ai su assez tôt que je voulais continuer.
En ce qui concerne l’art visuel , après mon premier tatouage et j’ai envisagé de devenir tatoueuse, et mes profs d’art m’ont beaucoup encouragée, alors j’ai pris des cours d’art au College Communautaire pendant que je j’étais au lycée

 

Qui a été ton plus grand soutien à cette époque ?

Ma foi et ma famille.
Je prie autant que possible pour garder une énergie positive.
Ma famille m’a soutenue, aimée et il y a tellement d’autres choses qui font que sans eux, je ne sais pas où je me tiendrais aujourd’hui.

 

Kelow interview

 

Ton dernier projet s’intitule « Amethyst Stoner ». Qu’est-ce que tu peux nous en dire ?

C’est l’illustration musicale d’un nettoyage et d’une convalescence dans une bataille en cours, avec des trucs qui déchirent.

 

Tu es partie en tournée en Suède, où tu sembles avoir une bonne fanbase depuis le succès de Press Button. Comment tu explique ce succès outre-mer et que pense tu du public suédois ?

J’ai sorti pas mal de titre avant, mais je pense honnêtement que tout est parti du succès du son et de la vidéo de « Uptwnz Finest ».
Après avoir pris en popularité et être apparu sur un blog appelé « Pussymadeofgold », j’ai eue la chance de partir en tournée en Suède, l’un de mes endroits préférés. C’était la première fois que je partais en tournée à l’étranger. J’y suis allée littéralement un mois après avoir été arrêtée. C’était une culture et un mode de vie différent auxquels je n’avais jamais été exposée. Il y a donc de nouvelles perspectives qui en sont sortie et ma vie et ce que je faisais a changé après avoir vu ce que ma musique faisais.
Press Buttons est arrivée avant ça, mais j’ai finalement échangé quelques mots avec Robyn via Twitter et sa styliste a assisté à mon show à Stockholm.

 

 

Et puis il y a le titre « Finna », qui est a lui aussi été très bien reçu à l’international. Qu’est-ce que tu peux nous en dire ?

Killem J’ai enregistré FINNA dans mon placard.
Je disais à mes gars « Venez écouter! » et je savais que c’était quelque chose d’énorme et de spécial. Je suis allé au studio, je l’ai mixé, j’ai ré-enregistré quelques petites choses, changé le beat sur le troisième couplet, en fait, j’ai laissé le troisième libre pour des featurings, mais ils ont tous traîné. J’en avais rien à faire. Je savais que c’était un hit tel quel pour cette raison.

 

Tu as dis dans une interview précédente que tu voulais de venir le Gucci de DMV. Qu’est-ce que ça veut dire pour toi ?

Aider, faire grandir, autant d’individus que possible dans cette région. Il y a beaucoup de talents et ils devraient tous être écouté.

 

Quels sont tes plans ? Quelle est la prochaine étape ?

Créer et créer quelques projets. Musicalement j’en ai quelques un sur le feu. Il y a aussi beaucoup d’art que je vais sortir bientôt.

 

Si tu ne faisais pas de musique, qu’est-ce que tu ferais, là tout de suite ?

La même chose, dans le sens où j’aiderais la communauté d’une certaine façon.

 

Kelow

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