Rihanna, humanitaire de l’année
La dernière fois qu’on a croisé Rihanna, c’était pendant les Grammy’s. Avec seulement quelques nominations pour l’album Anti, l’artiste faisait acte de présence en Armani, sirotant au goulot d’une flasque ornée de diamant.
Mais l’auto-proclamée Badgal, ne l’est peut-être pas tant que ça, puisqu’après Aung San Suu Kyi, Malala Youssefzai, Tommy Hilfiger, Desmond Tutu ou encore Sharon Stone, c’est elle que la fondation d’Harvard pour les relations interculturelles et raciales, a choisi d’honorer du titre d' »humanitaire » (sic) de l’année.
Mais pourquoi ? En 2012, elle fonde la fondation Clara Lionel en hommage à ses grand-parents. L’objectif étant de favoriser l’accès à l’éducation et à la santé dans le monde. Associé au Global Partnership for Education, dont elle devient ambassadrice, elle réussi à mettre en place dès mai 2016, une bourse d’études allant jusqu’à 50 000$ pour les jeunes de la Barbade, de Cuba, d’Haïti, de la Guyane, de la Jamaïque et du Brésil, souhaitant étudier au Etats-Unis.
Depuis la barbadienne n’a eu de cesse d’user de sa notoriété et du pouvoir de conviction de sa navy pour servir cette cause. Depuis 2014, elle organise chaque année le Diamond Ball pour lever des fonds pour son association. En 2016, elle interpelle sur twitter, le président François Hollande et le premier ministre canadien Justin Trudeau sur des questions d’éducation et invite ses fans à faire de même. Il y a quelques mois, son Insta la localisait au Malawi, dans une école que sa fondation a aidé à financer.
Dernière action en date : un partenariat avec Dior dont elle est l’égérie. Tous les bénéfices générés par les ventes du t-shirt « We Should All Be Feminist » pour reprendre les mots de Chimamanda Ngozi, seront reversé à sa fondation.
Pour Rihanna : Bottoms Up !